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Une boucle d'oreille est un article de joaillerie qui est porté à l'oreille. Elle peut être fixée à l'aide d'un clou d'oreille ou d'une pince. Elles sont portées à travers le monde par les représentants des deux sexes, mais majoritairement par les femmes. Les bijoux sont fixés à l'oreille grâce à une perforation le plus souvent effectuée dans le lobe d'oreille. Certaines boucles d'oreille peuvent cependant se fixer sans perforation, grâce à un mécanisme à pince.
La boucle d'oreille peut être composée de nombreux matériaux, du métal au bois en passant par le plastique ou le verre, certaines peuvent être agrémentées de pierres précieuses ou de perles. Elles peuvent être de taille et de style très différents, au gré de la volonté du bijoutier. La seule limite à la mode réside dans la résistance mécanique du lobe, qui pourrait se déchirer en cas de poids trop important ; les personnes qui portent habituellement les boucles d'oreille lourdes peuvent d'ailleurs constater un élargissement de leur lobe. De tous les types de bijoux, les boucles d'oreille sont actuellement les bijoux les plus portés par les femmes.
Percer le lobe de l'oreille constitue la plus ancienne modification corporelle connue actuellement, comme en témoignent de nombreuses références issues de cultures du monde entier et datant d'avant l'Histoire contemporaine. C'est au cours d'une fouille dans la ville de Chifeng, en Mongolie, qu'ont été trouvées les plus vieilles boucles d'oreilles au monde. Ces boucles de jade auraient entre 7 500 et 8 000 ans. Les recherches archéologiques sur ce site ont révélé de nombreuses boucles d'oreille hémicirculaires en pierre de jade datées de 6000 av. J.-C. Ces dernières appartiennent à la culture Xinglongwa. D'après les spécialistes, ces dernières n'auraient pas nécessité une perforation du lobe de l'oreille mais le pinçaient simplement. On a retrouvé également des boucles d'oreille dans la ville d'Ur en Mésopotamie.
En Afrique, la parure joue plusieurs rôles : Si l'esthétique semble la principale motivation, les bijoux répondent encore aujourd'hui à des codes sociaux. Leur taille et leur valeur sont des indicateurs de richesse. De plus, ils sont également portés en tant qu'amulette. Les bijoux ont un rôle particulier sur le continent Africain dans la mesure où ils accompagnent des tenues traditionnelles qui, par leur simplicité, leur ont souvent accordé une place privilégiée.
Les boucles d'oreille du Maroc datant des xvie siècle, xviie siècle et xviiie siècle sont souvent constituées d'un anneau ouvert, creux, et de section circulaire. À une des extrémités, une pointe est façonnée pour faciliter l'introduction de l'anneau dans le lobe. L'autre extrémité est munie d'un motif ornemental qui constitue la partie visible sur le lobe de l'oreille lorsque la boucle est portée. Souvent, l'anneau, peu ouvragé, contraste avec la partie ornementale qui jouit de motifs finement ciselés. La partie la plus haute est traditionnellement d'une structure à facettes en feuilles d'or. Juste en dessous, on trouve une plaquette présentant des cloisons - souvent recouverte de pierres ou de perles fixées par des fils d'or - ou bien un motif en forme d'éventail. Au plus bas du bijou se trouve un élément arrondi et ajouré. Il n'est pas rare qu'une chaîne fine relie le haut de la boucle d'oreille à un crochet très finement ouvragé. Ce dernier peut être attaché à la coiffure pour limiter les efforts mécaniques sur le lobe de l'oreille. Un modèle en argent doré émaillé, plus économique, est très largement répandu de Fès à Tanger. Les motifs floraux qu'il présente témoignent d'une influence espagnole dans l'orfèvrerie marocaine. Ces boucles d'oreille sont souvent incrustées de pierres moins nobles qui forment le cœur des motifs de fleurs. Les boucles d'oreilles portées au Maroc peuvent également être des pendeloques à cinq pendants - chiffre bénéfique - en corail ou en perle. Ce dernier type est fréquent à Rabat ou Marrakech.
Les anneaux pleins ornés de perles ou de corail constituent des parures citadines courantes. Il a existé des anneaux présentant un unique motif, lequel est alors généralement en forme d'amande. Le reste de l'anneau est, quant à lui, simplement ciselé. Des boucles d'oreille dont le motif principal était entièrement fixé sur l'anneau ont constitué jadis une parure somptueuse.
Le modèle typique issu de Fès est une créole imposante et allongée. Un motif coupant l'anneau en son milieu donne à la boucle d'oreille une forme de O barré. Ces dernières présentent souvent un motif floral entouré d'arcades. L'attache est relativement primaire, souvent constituée d'un petit fil passé au travers du lobe. Ce modèle est une évolution d'un modèle plus simple, constitué uniquement d'un fil de métal sur lequel des perles et éventuellement des émeraudes. Ce dernier modèle constitue la forme la plus ancienne de boucle d'oreille connue au Maghreb. Des répliques plus ou moins précieuses - parfois même munies de fausses pierres en plastique - ont existé jusqu'à nos jours. Les femmes berbères se séparent rarement de leurs bijoux et embellissent leur parure pour les jours de fête. Ces dernières portent en général les tiwinas, larges boucles d'oreille ayant une masse importante. Ces dernières présentent des motifs à cloisonnement et constituent un héritage direct des pendants phéniciens.
Les femmes marocaines apprécient porter des bijoux lourds et de valeur marchande élevée. Ces derniers célèbrent la féminité mais correspondent également à un excès de féminité, dans un contexte musulman. Le port de ces bijoux constitue ainsi pour la femme un moyen de se mettre en valeur et de réévaluer le statut de femme. Ainsi, les marocaines apprécient particulièrement porter des bijoux quotidiennement, pourvu que ceux-ci soient visible et bruyants. D'après Henri Terrasse, la caractéristique majeure des bijoux berbères résident en la force intrinsèque qu'ils possèdent